1 - D’abord ! Se nourrir sans faire souffrir ! La priorité !
Dans notre monde régi par la résonance intégrale, nous récoltons toujours ce que nous semons. Que nous soyons d’accord ou non avec ce fait, il n’en reste pas moins une réalité. Que nous pratiquions la cruauté envers les autres, à notre insu ou non, ne change absolument rien au fait que tout revient toujours vers son point d’émission. Inexorablement.
Aussi, d’abord, veillons à ne plus faire de mal envers qui que ce soit. En actes, en paroles ou en pensées, abstenons-nous de vouloir du mal à quiconque. Puis, ce n’est qu’ensuite que nous devons leur souhaiter le meilleur. Ceci avec conscience, gratitude et Bienveillance.
Cette interprétation physique du monde, vue au travers l’acceptation généralisée que l’élevage animal soit chose normale et acquise, vient prouver ce qui précède. La science objective d’aujourd’hui, indépendante de toute influence extérieure dont celle des lobbys, prouve hors de tout doute que la viande ainsi que toutes les protéines d’origine animale sont néfastes pour l’organisme humain.
En fait, les purines sécrétées par leur ingestion, favorisent la formation d’acide urique qui, plutôt que d’être évacuée, s’accumule et se cristallise avec le temps, surtout alentour des articulations. N’est ce pas là le lot de la plupart des gens arrivés dans la soixantaine ?
Ainsi, toute l’humiliation, la douleur et la cruauté faite aux animaux ne serait-il pas un juste retour des choses ? Pensons aux humains affligés du syndrome métabolique, du diabète, de problèmes cardiaques et par le cancer. Ceci, pour ne nommer que les maladies les plus fréquentes et les plus connues. N’est ce pas là des circonstances suffisamment accablantes pour ne pas reconnaitre le choc en retour d’actes pratiqués inconsciemment par la majorité d’entre nous ?
Comme l’esclavage jadis, l’élevage animal aujourd’hui semble être banalisé par la normalité. Qu’est ce que la normalité sinon pratiquée par des êtres dépourvus de sensibilité. Une sensibilité souvent ridiculisée par ceux et celles qui n’y sont pas éveillé(e)s.
Mais tout devient différent lorsque nous reconnaissons chez l’autre conscience et sentience. La science d’aujourd’hui reconnait de plus en plus la conscience d’être chez tous les acteurs du monde vivant.
Non seulement que tous les êtres ont conscience d’exister mais ils ont aussi le pouvoir de ressentir les douleurs, tout comme les caresses, et de pouvoir en faire la différence. Comme nous, les humains.
Aussi, sachant cela, pourquoi continuer à faire souffrir les victimes que sont les animaux quand leurs consommations provoquent autant de morbidité et de malheur tant chez les uns que chez les autres ?
2 - Pour en finir avec le monopole agricole !
Même si nous reconnaissons que l’UPA est une organisation qui trouve sa légitimité dans la défense de ses travailleurs, il faut prendre conscience qu’il y a aussi d’autres organisations de producteurs agricoles qui ne partagent pas nécessairement la même vision de l’agriculture.
Et, même si nous ne reconnaissons pas l’élevage animal comme un concept recevable tant pour ses innocentes victimes que pour la santé humaine et l’équilibre de l’environnement, nous comptons accorder à l’Union paysanne, qui représente nos fermiers artisans, toute la légitimité dont ils ont besoin pour faire valoir leur point de vue.
N’accepter qu’une vision des choses, c’est accepter la monotonie d’une structure agricole qui, force est d’admettre, détruit actuellement la nature et permet à la maladie de s’accentuer. Nous croyons que le rôle véritable de l’agriculture relève de la plus haute noblesse puisqu’elle vise à nourrir adéquatement donc à participer à l’élaboration d’une santé sans failles tout en veillant à l’équilibre de notre environnement.
Ainsi, selon nous, la solution se trouve ailleurs que dans l’association monochrome du maïs transgénique en alternance avec celle du soya issu d’une même mouture génétique et cultivés en masse pour nourrir du bétail.
Cet élevage animal dont nous ne sommes d’ailleurs pas conçus biologiquement pour s’en nourrir sous peine de maladies variées telles que nous les connaissons aujourd’hui et qui, par surcroit empoisonne l’ensemble de notre environnement.
C’est malheureusement, ce à quoi nous assistons présentement. Des terres surutilisées, saturées d’intrants chimiques dont les cultures produites sont devenues dépendantes, une eau empoisonnée par tous ses résidus, un sol qui se meurt par la compression d’engins aux proportions éléphantesques et qui provoque un manque évident d’oxygénation. Le tout nous conduisant ainsi inexorablement vers la faillite du vivant.
L’important donc est de redonner à la terre sa capacité de générer intégralement la vie . Celle qui, par sa pérenne fertilité pourra nous offrir tout ce dont nous avons besoin pour être en santé. C’est à dire, de quoi satisfaire une alimentation véritablement complète et beaucoup plus variée que ce que peut nous fournir actuellement l’agriculture traditionnelle.
En fait, tous les végétaux qui s’offrent par la multiplicité des fruits et légumes que nous pouvons produire ici au Québec, de même pour les céréales nobles, de légumineuses variées, de graines nourrissantes telles celles du lin et du chanvre, de noix et noisettes et d’un vaste choix de champignons propose donc un menu beaucoup plus intéressant tout en nous assurant d’une santé rayonnante.
Et, la cerise sur le gâteau, de plus en plus d’études authentiquement scientifiques puisque libres de toutes influences extérieures dont celles des lobbys, viennent prouver que c’est par le végétal que se trouve la voie à une véritable prospérité. Tant pour la santé de l’humain que pour son environnement. C’est pour cela que nous devons tous et toutes, en ce sens, veiller au grain ! Ouvrons l’oeil, et le bon !
3 - Une agriculture sans intrants chimiques !
Grâce à notre connaissance actuelle d’une agriculture hautement respectueuse de l’environnement, il est prouvé hors de tout doute que nous pouvons pratiquer une agriculture sans aucun intrants chimique et/ou toxiques tant pour tous les êtres vivants et l’environnement dans lequel nous évoluons tous que pour tous ceux et celles qui en bénéficieront.
Aussi, tous les producteurs agricoles, du plus petit au plus grand, seront mis au parfum quant à pouvoir nourrir et régénérer le sol afin qu’il reste vivant et puisse maintenir un haut niveau de fertilité tout en pouvant continuellement s’améliorer dans le temps.
Que ce soit grâce à la rotation des sols, sa mise en jachère, de veiller à les nourrir d’engrais verts, de purins confectionnés exclusivement de végétaux, de thés de compost pouvant facilement remplacer fongicides, bactéricides et pesticides si nocifs pour tout l’ensemble du vivant dont nous faisons nous-mêmes partie.
Ceci dans un contexte de totale pérennité de cette terre qui est non seulement notre hôte mais aussi notre mère à tous.
4 - Prioriser le végétal comme il se doit !
Dès que nous serons élus, nous mandaterons, si ils acceptent, l’organisme Équiterre, et tous les groupes voulant s’y joindre, afin de gérer une agriculture constructive et pérenne pour l’ensemble du vivant. Une agriculture essentiellement végétale, cohérente et pleinement fonctionnelle par l’administration des circuits courts.
Évidemment, quitte à nous répéter, tous ceux et celles qui partagent le même objectif pourront se joindre à cette nouvelle équipe. Ceci, pour une agriculture vivifiante et renouvelée, bienfaisante pour tous. De cette façon, la mise en action de tous les paramètres nécessaires à ce véritable rétablissement écologique pourront être appliqués partout, dans toutes les sphères de notre société.
Par souci de cohérence, le département de l’agriculture ainsi constitué sera en constante communication avec tous les autres départements formés. Tous aussi importants les uns que les autres. L’ensemble ainsi réuni ne fera désormais qu’Un. Celui où nous sommes tous appelés à évoluer et par lequel nous sommes tous liés.
Partageant le même objectif, c’est en réalisant de notre mieux ce pourquoi nous sommes naturellement doués et ce vers quoi nous sommes spontanément appelés que nous allons pouvoir sauvegarder l’équilibre de notre monde. Le tout pour une société juste et équitable, régie par la paix et l’harmonie.
5 - Se végétaliser: Compassion - Santé - Environnement !
Ici, au Québec, dans les zones de rusticité habitées, il est possible de produire +/- 30 fruits/petits fruits aux cultivars variés et autant de légumes. Puis, il nous est possible de produire 5 grains céréaliers nobles (sans gluten), une multitude de légumineuses, noix et noisettes, graines variées et une abondance de champignons.
Voilà la diversité du végétal qui s’offre à nous. Pour notre santé et l’environnement. Cela demande tout simplement de réorienter nos productions en donnant la priorité au végétal exclusivement. La solution est là, à portée de main.
Une réalité de circuits courts par la proximité des denrées et notre participation à ces productions font en sorte que nous réaliserons l’autonomie alimentaire dès les premières années, à l’intérieur même du premier quinquennat. Qui dit mieux ?
6 - Le végétal peut nourrir 10 fois plus de personnes !
Le fait de s’alimenter directement de végétal, qui d’habitude sert à nourrir les animaux d’élevage en captivité, est synonyme de la fin de la faim !
Bien plus encore, de plus en plus d’études démontrent assurément que de se nourrir exclusivement de végétal sous la forme la plus fraîche et la moins transformée possible, forme un contexte de santé rayonnante où la maladie ne pourrait exister qu’occasionnellement, et encore.
En plus, se sustenter que de végétal qui s’offre permet de nourrir jusqu’à 10 fois plus de personnes. Voilà où l’évolution véritable nous amènent: à pouvoir constater la fin de la faim. Ici comme partout ailleurs. Ceci, à condition de le vouloir. Mais, le voulons-nous ? Toute la question est là. Vouloir, c’est pouvoir !
Ici, au Québec, dans la plupart de ses régions, il est possible de produire +/- 30 fruits/petits fruits, autant de légumes, cinq (5) céréales nobles (sans gluten), une multitude de légumineuses variées enrichissant nos sols, des noix et noisettes, plusieurs espèces de graines fournissant les essentiels oméga-3 et une foule de champignons dont les saveurs nous sont encore inconnues.
Et, tous ces aliments ont une solide réputation quant à leur impact sur notre santé. Une santé sans connaitre la maladie, ça vous dit ?
C’est pour cette principale raison que nous trouvons que c’est faire preuve de cruauté en faisant perdurer l’élevage qui, provoque l’humiliation et la souffrance, toutes deux injustifiées, chez la gente animale, crée la maladie chez l’humain (par la présence d’acide urique, de perturbateurs endocriniens, d’antibiotiques, de sel, de sucre et autres polluants nécessaires à sa conservation) et détruit l’équilibre de notre environnement que nous voulons sain et équilibré.
Notre proposition est donc d’investir les sommes qui habituellement étaient destinées aux éleveurs pour plutôt encourager la vie et la santé. De cette façon, aider des fermes à vocation exclusivement végétales dont les méthodes d’emploi sont hautement respectueuses de l’environnement nous semble plus pertinent et surtout plus cohérent avec l’état d’esprit que nous voulons développer ici dans notre réalité.
Pouvoir vivre une vie pleine et entière, être heureux, rire et se sentir à sa place dans cette communauté d’idées qui est la nôtre est un rêve qui peut devenir réalité. Le vrai pouvoir est entre nos mains. Les nôtres. De même que les responsabilités qui y sont corrélées.
7 - Déductions fiscales pour se nourrir de végétal. 5 à 50 % !
Tous les aliments d’origine végétale, quelle qu’en soit leur origine sera déductible de 5%. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale, importés mais certifiés Bio ou tout simplement produits localement seront déductibles de 10 %. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale, produits localement et certifiés Bio ou son équivalent seront déductibles de 15 %. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local (dans un supermarché de votre localité ou directement de votre fermier de famille) seront déductibles de 20 %. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local directement de votre fermier de famille ne pratiquant aucun élevage animal, quel qu’il soit, incluant les insectes et autres formes de vie non mentionnées, seront déductibles de 25 %. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local directement de votre fermier de famille ne pratiquant aucun élevage animal, quel qu’il soit, incluant les insectes et autres formes de vie non mentionnées. À ce producteur local qui vous fournit un panier hebdomadaire, vous devrez lui apporter de l’aide en y travaillant une journée par mois. De cette façon, tous vos achats répondant aux critères tels qu’ici, précisés, seront déductibles de 30%. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local directement de votre fermier de famille ne pratiquant aucun élevage animal, quel qu’il soit, incluant les insectes et autres formes de vie non mentionnées. À ce producteur local qui vous fournit un panier hebdomadaire, vous devrez lui apporter de l’aide en y travaillant deux journées par mois. De cette façon, tous vos achats répondant aux critères tels qu’ici, précisés, seront déductibles de 40%. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local directement de votre fermier de famille ne pratiquant aucun élevage animal, quel qu’il soit, incluant les insectes et autres formes de vie non mentionnées. À ce producteur local qui vous fournit un panier hebdomadaire, vous devrez lui apporter de l’aide en y travaillant trois journées par mois. De cette façon, tous vos achats répondant aux critères tels qu’ici, précisés, seront déductibles de 45%. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
Tous les aliments d’origine végétale provenant d’un producteur local directement de votre fermier de famille ne pratiquant aucun élevage animal quel qu’il soit, incluant les insectes et autres formes de vie non mentionnées. De plus, ce producteur local doit établir et maintenir sur ses terres une forêt nourricière variée offrant au moins 20 sortes de fruits/petits fruits différents. À ce producteur local qui vous fournit un panier hebdomadaire, vous devrez lui apporter de l’aide en y travaillant quatre journées par mois. De cette façon, tous vos achats répondant aux critères tels qu’ici, précisés, seront déductibles de 50%. Seule condition, transformés ou pas, tous ces aliments ne doivent contenir aucun ingrédient d’origine animale, de sucre et/ou d’un de ses substituts ni d’aucun autre élément pouvant nuire à la santé. Ceci, pour un montant maximal de $150 par semaine correspondant aux besoins familiaux ou à ceux de la maisonnée.
8 - Du troc ? Et pourquoi pas ?
Encore aujourd’hui, bien malin celui qui saura se passer complètement d’argent. La monnaie est en fait un moyen simplifiant les échanges entre entités économiques que, qu’elle que soit notre échelle d’existence, nous sommes tous et toutes.
Cependant et surtout dans le cadre que d’apporter de l’aide à son fermier de famille ou tout autre organisation de notre choix, nous croyons que nous pouvons tous agir en échangeant notre temps, notre énergie, nos actions en échange de denrées et services variés.
Pourquoi pas ? Après tout, il s’agit d’ententes entre personnes consentantes s’échangeant réciproquement de l’énergie qui variera sous la forme qui sera définie par ces mêmes personnes. Alors, personne sauf les personnes concernées n’ont droit à venir s’immiscer dans cet échange. Pourvu que le tout soit fait de manière équitable et sans abus pour personne. Voilà un troc viable et recevable pour toute personne voulant le pratiquer.
9 - Zonage agricole adapté pour écovillages !
Si des terres non utilisées sont rachetées par l’état, il sera toujours possible d’y installer un écovillage. Cas par cas, les projets présentés seront étudiés et considérés également. Ces projets devront cependant répondre à des exigences respectant l’écologie et l’environnement.
Mais ici, le dézonage potentiel ne s’arrête pas là pour un possible écovillage voulant prendre racine en région. Il peut y avoir entente entre propriétaires terriens pour effectuer un tel dézonage. Cependant, il faut savoir que le « diable » se cache toujours dans les détails.
Aussi, pour éviter un morcèlement de terres fertiles, vide de sens, en vue d’un développement strictement résidentiel sera toujours refusé du revers de la main.
Par ailleurs, les résidences seront construites de façon à satisfaire les exigences 100 % écologiques. et certaines conditions devront s’appliquer quant à la densité des personnes voulant s’impliquer, que le plan végétal proposé soit accepté et que tous les surplus produits pourront bénéficier à la population environnante. Plan et devis ainsi qu’une étude de faisabilité seront évidemment exigés au préalable.
10 - Produits écologiques bruts déductibles d’impôts ! 25% !
Sont les deux seuls produits ménagers qui seront déductibles d’impôt à 25% pour un montant maximum de $50 par mois et/ou un maximum de $600 annuellement. Que ceux-ci soient achetés en vrac ou non. Ces deux produits sont reconnus comme sans danger tant pour l’environnement que pour la santé humaine si utilisé comme il se doit. Ces produits peuvent être utilisés tant pour le nettoyage domestique, comme assainissant pour les fruits et légumes ou pour appliquer au jardin.
11 - Déductions fiscales - Tout pour le jardin. 5 à 50 % !
Tous les outils et matériaux devront être conformes aux normes décrites par le ministère. Seuls des outils durables garantis d’une longévité éprouvée seront acceptés. Aussi, avant tout achat, la consultation de la liste des produits concernés est recommandée.
Outils et matériel divers
Tous les outils manuels indépendamment de leur provenance seront réputés déductibles à 5%.
Tous les outils manuels fabriqués ici, au pays, seront réputés déductibles à 10%.
Semences
Toutes semences indépendamment de leur provenance seront réputées déductibles à 5%.
Toutes semences importées mais certifiées Bio seront réputées déductibles à 10%.
Toutes semences produites ici, au pays, seront réputées déductibles à 15%.
Toutes semences produites ici, au pays et reconnues d’une production respectueuse de l’environnement, seront réputées déductibles à 20%.
Toutes semences produites ici, au pays et certifiées Bio et/ou dont le rôle est d’attirer plusieurs espèces de butineurs variés seront déductibles à 25%.
De même, toutes les formations visant à enseigner comment produire ses propres semences et à les conserver seront aussi déductibles à 25%. Une fois par année. Pour un montant maximal de $100.
Subventions et diminution de taxes foncières pour plantation d’arbres fruitiers
Cette réduction peut atteindre jusqu’à 5% du total des taxes foncières si au moins un arbre fruitier par mètre carré disponible est planté d’abord à l’avant du bâtiment dont les fruits seront accessibles à tout le monde dont les passants. De même, des arbres fruitiers pourront être plantés à l’arrière du bâtiment. Ceci afin qu’au moins 50 % de la surface total d’un terrain résidentiel soit aménagé pour des plantes comestibles. L’implantation d’arbres fruitiers dont les essences devront obligatoirement varier devra être complétée par l’aménagement de plantes comestibles, dont la présence obligatoire d’au moins trois espèces différentes de plantes/fleurs mellifères afin d’attirer et de nourrir les ceci pour une surface minimale imposée de 50% de tout le terrain résidentiel de la propriété concernée.
Tous les arbres fruitiers seront offerts gratuitement selon la disponibilité des fournisseurs.
Deux conditions obligatoires devront s’appliquer.
La première concerne le fait qu’aucun produit toxique ne devra être utilisé pour jardiner et contrôler la végétation non désirée ainsi que pour tous les représentants de la faune locale qui pourraient être potentiellement intéressés par les denrées comestibles offertes. Tous les moyens entrepris à cette fin ou une autre devra satisfaire les normes d’une agriculture hautement respectueuse de l’environnement.
La deuxième est l’installation de mangeoires pour oiseaux et/ou d’autres représentants de la faune environnante. Ceci afin de favoriser leur présence dans notre environnement direct.
12 - Déduction fiscale pour serre domestique !
Une déduction fiscale de 25% sur le total des coûts entrainés pour la construction d’une serre domestique servant à fournir en fruits et légumes les résidents vivant à proximité pourra être accordée après l’étude de devis fournis par le(s) propriétaire(s).
Cette serre pourra être installée partout sur le terrain de la propriété à condition expresse que son installation ne contrevienne pas à aucune loi organique, environnementale, sociale, municipale et/ou architecturale.
Ces serres devront être structurées de façon à consommer aucune énergie provenant de l’industrie pétrolière et en minimisant l’emploi d’une énergie propre comme l’électricité. Les données et paramètres devront correspondre à une utilisation maximale d’énergie douce telles l’utilisation du solaire passif, d’une masse architecturale productive et une orientation +/- plein sud.
Ces déductions seront accordées, quel que soit l’endroit où les serres domestiques seront installées.
Exemple de serre souhaitée :
13 - Subventions vers une production exclusivement végétale !
La biologie ayant ainsi fait la preuve que seule la nourriture végétale peut fournir une alimentation de premier ordre quant à procurer une santé sans failles à l’humain tout en pouvant nourrir jusqu’à 10 fois plus de personnes, il est maintenant démontré qu’il a toujours été inutile de faire souffrir d’autres êtres vivants pourvu, tout comme nous, de conscience et de sentience, afin de pouvoir, croyait-on, s’en sustenter.
Ainsi, afin de connaître une véritable autonomie alimentaire et de proximité qui plus est, tout sera fait pour aider les éleveurs à orienter leurs entreprises agricoles vers une production exclusivement végétales. Que l’orientation soit maraîchère, d’une production de céréales nobles (sans gluten), de graines (lin, tournesol, chanvre et autres.), de noix et noisettes et d’une multitude de légumineuses capables de s’épanouir sous notre climat tempéré.
À cette fin, les services de spécialistes maitrisant une expertise favorisant cette transition vers le végétal seront subventionnés à 100 %. De plus, le matériel nécessaire à cette transition pourra bénéficier de sommes et de prêts dont les taux d’intérêt seront sans intérêts.
14 - Rachat des terres pour conversion en espace vert !
Au niveau rural, toutes les terres non utilisées et qui peuvent être employées tant au niveau agricole et/ou forestier seront achetées par l’État. À moins que le propriétaire nous propose un plan de développement quant à ses qualités de pourvoir la nature de végétal respectif à son Biotope. Il faudra que les activités débutent dans la même année, après l’accord du plan proposé par le propriétaire.
Au niveau urbain, tous les terrains non utilisés seront rachetés par l’état. À moins que le propriétaire du terrain envisage une action immédiate d’emploi et nous propose un plan de développement quant à ses qualités de pourvoir la nature de végétal respectif à son Biotope.
Ce ou ces terrains, racheté(s) par l’état, seront transformés pour devenir un jardin communautaire et/ou un parc. Des conditions de faisabilité s’appliquent. Si l’endroit est trop délabré ou le sol y est pollué, tout sera remis comme il se doit et la facture devra être honorée par le propriétaire vendeur.
15 - Le chanvre. Un retour qui s’impose !
Dans le cadre des rotations de parcelles pour la production végétale, la production de chanvre sera encouragée.
Rappelons que ses graines de chanvre sont une source d’acides gras essentiels dont les Oméga 3, ses fibres textiles sont pratiquement inusables tandis que l’entièreté de la plante peut se transformer en un isolant des plus performants et peut même produire du papier de façon à économiser nos forêts des inutiles coupes forestières dès aujourd’hui. Qui dit mieux ?
16 - Respect et protection aux lanceurs d’alerte !
Tout comme Julian Assange (Wikileaks) ou plus près de nous, Louis Robert, tout lanceur d’alerte pourra bénéficier de notre protection et s’il le faut, l’état lui assurera une défense comme il se doit. Un lanceur d’alerte est une personne qui croit que son acte que d’attirer l’attention sur tel ou tel événement pouvant mettre en danger la vie elle-même ou celle d’êtres vivants. Par conséquent, le lanceur d’alerte, si le cas observé est validé, pourra toujours bénéficier de notre aide.
17 - Participation citoyenne au verdissement !
À cette fin, il sera offert des ateliers gratuits d’informations jardinières partout. Ces ateliers seront offerts dans chaque village, banlieues et quartiers de toutes les villes du Québec afin d’informer du modus operandi jardinier pour que chaque jardin soient des plus productifs, ceci grâce à des méthodes on ne peut plus saines pour tout l’ensemble du vivant.
Et pour toutes les personnes intéressées à y participer, il y aura des déductions fiscales pour toutes les dépenses faites afin d’embellir les structures environnantes mais qui ne font pas partie de sa propriété telles les ruelles et les carrés de terre là où sont/seront plantés des arbres sur les trottoirs et/ou dans les terrepleins à proximité.
N’y a-t-il rien de plus beau qu’un ensemble d’humains vivant dans un environnement verdoyant de vie et d’harmonie. Rien de tel que le végétal rustique à son biotope pour oxygéner, tempérer les sévices des chambardements climatiques tout en administrant l’eau de façon à ne pas connaitre ni sécheresse ni inondations.
Ils viendront alors de partout pour venir nous visiter, se prélasser et témoigner de notre économie véritablement verte afin de nous imiter. Ainsi, partout au monde, l’humain pourra enfin vivre en symbiose avec le vivant. Le Québec, encore une fois, sera fier d’en poser la première marche.
18 - Invitation à la créativité !
Tous les résidents du Québec sont encouragés à présenter leur(s) projet(s) s’ils vont dans le même sens, donnant ainsi priorité absolue au végétal. Toutes les personnes doivent présenter plans et devis ainsi qu’un rapport exprimant la faisabilité du dit projet.
Ayant même la possibilité de mener à bien leurs propres projets, s’ils sont retenus et acceptés, toutes et tous sont les bienvenu(e)s. Ainsi, beaucoup de jeunes pousses d’entreprises (Start-up) seront créés afin d’enrichir globalement notre économie.